Capitale culturelle et spirituelle du Japon durant plus d'un millénaire, ravagée par les conflits et les incendies, la ville fut presque épargnée pendant la seconde guerre mondiale.
Kyoto ne compte que 1600 temples bouddhiques et 400 sanctuaires shintoïstes.
La gare de Kyoto
D'abord objet de polémique l'oeuvre d'Hara Hiroshi emporte l'adhésion générale grâce à son double emprunt: la tradition des portes de château médiéval et son incroyable modernité.
La tour de Kyoto et le, temple Hongan -Ji au petit matin.
Le sanctuaire Fushimi Inari
Le sanctuaire de Fushimi Inari est dédié à la divinité Inari protectrice du riz.
3000 toris s'alignent sur près de 5 kms, la plupart gravés au nom des nouvelles divinités: les entreprises.
Le renard, envoyé des dieux pour protéger les cultures
Une intruse chez les collégiens.
La ville de Kyoto
une vue de Kyoto, entouré de collines
Sur le canal Takase Kawa
Une geisha sur le canal
Une petite rue près de l'hôtel où se côtoient les maisons traditionnelles et les immeubles contemporains.
La poésie des fils électriques: un ciel de portée musicale.
Quand les rues se transforment en galeries marchandes, c'est l'effervescence;
Temples et jardins de Kyoto
Un monde suspendu
Tous les bruits de la rue
meurent au loin-
chant des cigales
Shiki
Le Temple Zuiganzan Enkou-ji
des fleurs vivantes
Le bambou: tantôt instrument de musique aux notes cristallines, tantôt une frêle canalisation.
Les jardins secs: un univers de nuages, de montagnes et de rivières en miniature.
L'automne frissonnant sur un paravent
Le Temple Ryôan-ji
Le temple est célèbre pour son jardin zen métaphorique. Ce jardin de sable et de pierre, est considéré comme une perfection.
Ses 15 rochers forment un paysage qui change en fonction du regard. L'oeil ne peut en percevoir que 14.
Message du jardin: on a toujours quelque chose à découvrir. L'essentiel serait-il invisible pour les yeux?
Le Pavillon d'or: Kinkaku-ji
Entièrement recouvert de feuilles d'or, son reflet flotte sur l'eau de l' étang.
Le Château du Shogun Nijo-jo
33 pièces, 3000m2.
Le shogun savait recevoir
Le Boydo- in, le règne de la transparence
la constance du jardinier peignant son pin.
L'impression-nante patience des lycéens .
Capitale du Japon au 8ème siècle, Nara est le domaine des temples et des daims.
Devant la gare : un moine mendiant.
A côté, une bien belle bouche d'égout!
Temple Todai-ji, l'un des plus visités du Japon, il possède d'impressionnants bouddhas et de non moins impressionnants démons.
Une colonne porte bonheur pour les enfants qui doivent s'y faufiler.
Les 1100 daims déambulent dans le parc.
Considérés comme sacrés puisqu'ils avaient transporté les dieux sur la terre, ils se croient tout permis.
Un bouddha vénérable censé guérir les maux. Il suffit paraît-il de lui caresser la partie du corps dont on souffre pour voir disparaître la douleur.
Ses genoux reluisent d'usure. Pas convaincant.
Fondé au 9ème siècle, le Kôya San devient un important centre du bouddhisme ésotérique.
L'ascétisme asiatique sied mal aux genoux des pèlerins aquitains.
Le Danjo Garan
200 000 sépultures sont réparties sur plusieurs kilomètres.
Nombre d'entre elles portent un bonnet ou un bavoir rouge, ce sont les jizos.
Osaka considérée comme la cigale du Japon est une ville aussi trépidante que gourmande.
Un pachinko débridé.
Dernière vision du Japon. Vue de l'hôtel d'Osaka.
Les traces de l'ouragan sont encore visibles.